Pour continuer dans la présentation de posters qui m’ont fait forte impression lors du congrès de l’IFLA, je vais vous parler aujourd’hui de celui de la Bibliothèque nationale de Singapour, qui a d’après moi manqué de la publicité qu’il méritait.
Pour continuer dans la présentation de posters qui m’ont fait forte impression lors du congrès de l’IFLA, je vais vous parler aujourd’hui de celui de la Bibliothèque nationale de Singapour, qui a d’après moi manqué de la publicité qu’il méritait.
Lors du congrès de l’IFLA, un poster a fait forte impression : il s’agit de celui des Aalborg Bibliotekerne au Danemark, qui présentait la façon dont ils avaient réenvisagé l’accueil des publics par la standardisation. Je vous le présente dans la suite du billet.
Grande première pour moi, j’ai pu participer à l’animation de communautés lors d’un événement culturel et scientifique dont tout le monde bibliothéconomique souhaiterait qu’on arrête de nous soûler avec (promis, on arrête très bientôt), je veux bien sûr parler de l’IFLA.
Sur le blog de la commission Légothèque de l’AbF, nous tentons de féminiser au maximum nos articles. C’est une pratique courante dans les textes féministes et LGBT (Lesbien, Gay, Bisexuel et Transgenre). Symboliquement, c’est un exercice auquel il faut s’habituer, et qui peut interrompre plus ou moins la lecture. Avec une autre membre de la commission, Camille Hubert, nous nous sommes dernièrement interrogés sur cette pratique.
L’Etat de Singapour, qui a accueilli l’an passé le congrès IFLA, continue à faire parler de lui au sujet de la censure de livres sur l’homosexualité.
L’été est là, et la traditionnelle comparaison de programmes de gestion de références aussi. C’est la quatrième année que je traduis cet important travail mené par nos collègues de l’université technique de Münic (TUM).
Par rapport à l’an passé, on peut noter l’arrivée de Colwiz sur le banc d’essai et la sortie de Papers du classement. Ce comparatif évolue de façon moins radicale que l’an passé, mais l’on peut tout de même noter quelques changements. Pour le consulter, cliquez sur le lien suivant :
… et avec Bernard Tschumi.
Exposées jusqu’au 28 juillet au centre Pompidou dans le cadre d’une rétrospective qui met notamment en lumière la conception du Parc Zoologique de Paris récemment réouvert, les oeuvres, projections et maquettes marquantes du parcours de l’architecte Bernard Tschumi ne manqueront pas de de satisfaire la curiosité du bibliothécaire français. Je vous invite à y aller si vous en avez la possibilité, ne serait-ce que pour ne pas trop m’en vouloir de vous présenter ces photos de mauvaise qualité.
La communication des documents en magasin s’inscrit dans ce qu’il y a de plus « pratique » en bibliothèque : il faut signaler la disponibilité d’un document à un usager, soit d’une façon non habituelle pour l’usager (dans les bibliothèques universitaires et municipales, en général), soit de façon courante, lorsque la plupart des documents est stockée en magasins. Cette communication est effectuée lors d’horaires dédiés, habituellement moins étendus que les horaires d’ouverture. Lorsqu’il s’agit d’une bibliothèque patrimoniale, il est souvent nécessaire d’effectuer la demande la veille. Ce processus est généralement effectué par des agents sur des plages spécifiques. Mais le signalement est différent selon les bibliothèques.
En Flandre, région néerlandophone de la Belgique, les bibliothèques publiques ne prêtent pas de livres numériques. Enfin, pas encore. En effet, un service de prêt numérique régional va être lancé dans les prochains mois.
Ces derniers jours, auteur-e-s, professionel-les du livre, associations et fédérations de professionnel-les, élu-e-s et médias ont manifesté leur soutien face aux diverses attaques auxquelles les bibliothèques ont pu faire face. Ainsi, le ministère de la Culture et de la Communication, la Fédération Nationale des Associations de Directeurs des Affaires Culturelles, l’Association des bibliothécaires de France ont notamment affirmé avec force leur attachement au pluralisme des bibliothèques (1).
Ce n’est malheureusement pas la première fois au cours de l’Histoire que les bibliothèques sont attaquées sur la pluralité de leurs collections.
Nous regrettons que ce sujet s’impose aux bibliothèques comme un débat, alors qu’il dissimule des attaques à portée morale ou politiques plus larges.
Nous regrettons surtout de devoir nous défendre face à des menaces de censure, quelles qu’elles soient.
Les accusations récentes de collections qui prôneraient la “théorie du genre” nous…
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